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L’échec est à la mode chez les puissants de ce monde.
Qui ne s’est pas mis, un instant, à la place d’Hillary Clinton le soir du 8 novembre ? Ou de David Cameron, François Hollande, Matteo Renzi, Alain Juppé, Manuel Vals, et tous ceux qui les soutenaient ?
Mais l’échec fait aussi partie de la vie de chacun de nous. Nous en avons connu, nous en rencontrerons d’autres.
Charles Pépin, jeune philosophe à succès, nous a expliqué, au cours d’un de nos dîners « Questionnaire » combien nos échecs pouvaient être salutaires, peut-être même précieux.
J’en ai tiré, à votre intention, une poignée de préceptes, à déguster et méditer.
Jean-Louis
L’échec est à la mode chez les puissants de ce monde.
Qui ne s’est pas mis, un instant, à la place d’Hillary Clinton le soir du 8 novembre ? Ou de David Cameron, François Hollande, Matteo Renzi, Alain Juppé, Manuel Vals, et tous ceux qui les soutenaient ?
Mais l’échec fait aussi partie de la vie de chacun de nous. Nous en avons connu, nous en rencontrerons d’autres.
Charles Pépin, jeune philosophe à succès, nous a expliqué, au cours d’un de nos dîners « Questionnaire » combien nos échecs pouvaient être salutaires, peut-être même précieux.
J’en ai tiré, à votre intention, une poignée de préceptes, à déguster et méditer.
Jean-Louis