PANIQUE SUR LA PLANÈTE
En enquêtant sur l’avenir de la Terre, pour mon livre « L’Humanité, apothéose ou apocalypse » j’ai rencontré nombre de prévisions pessimistes. Oui, certains envisagent même que les humains soient éradiqués avant la fin du siècle. Des experts réunis par Oxford chiffraient les chances de ce cataclysme à 19%, ce qui n’est pas rassurant.
Mais voilà pire: Le « Times higher education » a demandé à 50 prix Nobel quelles seraient les plus fortes chances d’une apocalypse. 34% citent le changement climatique et la surpopulation. 23% pensent à un conflit nucléaire. Seulement 8% (dont Bill Gates) mentionnent une pandémie incurable. Les inégalités et les risques liés à l’Intelligence artificielle ne recueillent qu’autour de 4%.
Il y a, bien sûr dans leurs déclarations un reflet de l’actualité du moment. Avant les fantaisies de Kim Jong Un, on ne parlait plus guère du risque nucléaire. Mais le plus saisissant est qu’il y ait autant de « sachants » qui soient près à imaginer la disparition à court terme des humains.
Rien de probant dans cet exercice, mais il est indicateur de l’atmosphère pessimiste qui règne parmi les grands esprits de la planète.
En enquêtant sur l’avenir de la Terre, pour mon livre « L’Humanité, apothéose ou apocalypse » j’ai rencontré nombre de prévisions pessimistes. Oui, certains envisagent même que les humains soient éradiqués avant la fin du siècle. Des experts réunis par Oxford chiffraient les chances de ce cataclysme à 19%, ce qui n’est pas rassurant.
Mais voilà pire: Le « Times higher education » a demandé à 50 prix Nobel quelles seraient les plus fortes chances d’une apocalypse. 34% citent le changement climatique et la surpopulation. 23% pensent à un conflit nucléaire. Seulement 8% (dont Bill Gates) mentionnent une pandémie incurable. Les inégalités et les risques liés à l’Intelligence artificielle ne recueillent qu’autour de 4%.
Il y a, bien sûr dans leurs déclarations un reflet de l’actualité du moment. Avant les fantaisies de Kim Jong Un, on ne parlait plus guère du risque nucléaire. Mais le plus saisissant est qu’il y ait autant de « sachants » qui soient près à imaginer la disparition à court terme des humains.
Rien de probant dans cet exercice, mais il est indicateur de l’atmosphère pessimiste qui règne parmi les grands esprits de la planète.